COURS DE TWERK PARIS

Patricia Badin présente le Twerk Paris, un style de Twerk qui se veut
anti-patriarcal et anti-colonial

Patricia Badin entourée de ses élèves lors d'un évènement Adidas à Paris

Patricia Badin utilise le Twerk comme un moyen de résistance culturelle et de revendication politique. Le Twerk, souvent perçu à travers un prisme hyper sexualisé et commercialisé, est réapproprié par Patricia Badin pour en faire un outil d’émancipation et de libération des corps.

Un Twerk Anti-patriarcal

femme noire en soirée qui twerk a l'envers en tenue colorée
photo: Mahdi Aridj

Pratiquer le Twerk encourage les femmes à s’exprimer librement et à prendre confiance en elles et s’affirmer, en créant un espace où elles peuvent bouger et danser sans jugement ni contraintes.

Réappropriation du corps féminin

En mettant l’accent sur le contrôle et la célébration du corps par les femmes elles-mêmes, le Twerk Paris défie les normes patriarcales qui objectivent et sexualisent les femmes sans leur consentement. Cette pratique favorise l’émancipation des femmes en leur permettant de prendre confiance en elles et de s’affirmer.

Puissance au féminin

Pratiquer le Twerk encourage les femmes à s’exprimer librement et à prendre confiance en elles et s’affirmer, en créant un espace où elles peuvent bouger et danser sans jugement ni contraintes.

Un Twerk anti-colonial

Origines culturelles

Le Twerk trouve ses racines dans les danses traditionnelles africaines et caribéennes. En soulignant ces origines, Patricia Badin met en avant la richesse et la diversité des cultures noires, souvent marginalisées ou appropriées sans reconnaissance.

Décolonisation des esprits

En utilisant le Twerk pour promouvoir une vision positive et autonome de la culture noire, elle combat les stéréotypes négatifs et encourage une réflexion critique sur l’histoire coloniale et ses impacts actuels.

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